Salaires, pensions, allocations, CST: ce qui change ce 1er mars

Que va-t-il changer ce mardi 1er mars ? Tour d’horizon.

Les pensions et les allocations
Les pensions et les allocations augmenteront de 2 % en mars. C’est le résultat du dépassement de l’indice pivot en février.

Un mois après le dépassement de l’indice pivot, les allocations et les pensions sont indexées de 2 %, puis les salaires du secteur public deux mois plus tard.

En janvier, les allocations et les pensions ont également été augmentées de 2 %, après un dépassement de l’indice pivot en décembre. Et un autre dépassement est attendu en octobre. En d’autres termes, en un an, les allocations, les pensions et les salaires du secteur public auront été augmentés trois fois de 2 %.

Salaires des militaires
Pour la première fois depuis vingt ans, le salaire des militaires augmentera à partir du 1er mars. La revalorisation sera mise en œuvre en plusieurs phases entre mars de cette année et janvier 2024.

Annoncée fin février par la ministre de la Défense Ludivine Dedonder et le chef de la Défense, l’amiral Michel Hofman, la mesure combine une augmentation du salaire et/ou une attribution d’une nouvelle allocation de carrière. Elle s’appliquera de manière différente en fonction de la catégorie de personnel, du grade et de l’ancienneté.

L’augmentation des salaires s’inscrit dans le cadre du plan « People our priority » (POP) initié par la ministre et qui vise à revaloriser la profession militaire que ce soit en lien avec l’environnement de travail, l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée, les possibilités de carrière ou encore la rémunération.

A partir de novembre prochain, les militaires recevront également des chèques-repas.

CST
A partir du 1er mars, le CST reste obligatoire pour entrer en boîte de nuit, participer à des grands événements, manger au resto, etc. Avoir reçu deux doses (ou une seule du vaccin Johnson & Johnson) suffit pour être autorisé à entrer. La durée de validité du certificat de rétablissement reste bien de 180 jours (six mois) depuis la date de l’infection prouvée par un test PCR (cela ne fonctionne pas avec les autres tests comme les autotests). Il est toujours possible de réaliser un PCR ou un test en pharmacie payants pour obtenir un CST valide pendant respectivement 72 et 48 heures.

Par manque de prévoyance et surtout de volonté politique, il ne sera finalement pas nécessaire d’avoir eu sa dose de rappel pour conserver son CST au-delà du 1er mars. Sauf si vous décidez de quitter la Belgique.

lesoir

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